Les Juifs sont-ils partout ? Sans doute, je commence à le remarquer. Est-ce un problème ? Je ne me l’étais jamais dit avant qu’ils se radicalisent en masse dans le sionisme et que leur omniprésence dans les médias, la politique et les cercles intellectuels conduise à relativiser et à étouffer des crimes terribles qui heurteraient les instincts moraux les plus basiques.
Elisabeth Borne, Gabriel Attal, Antoine Armand, Yaël Braun-Pivet, Alexis Kohler, très nombreux sont les ministres et premiers ministres qu’on dit Juifs ou d’ascendance Juive dans les hautes sphères de l’Etat. En particulier en comparaison du poids démographique des Juifs en France (~1%).
Et quand ils ne sont pas ouvertement Juifs, beaucoup ont dû faire ouvertement campagne pour les Juifs ou embrasser le sionisme pour être élus ou nommés, que ce soient Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, Agnès Panier-Runnacher, Maud Brégeon, Sylvain Maillard, Marc Ferraci, Aurore Bergé, François Hollande, tous les autres sionistes que l’on trouve facilement en regardant qui est invité par RadioJ et en écourant ce qu’il y raconte. Même la droite nationaliste se met à faire des courbettes à Israël, voyez Jordan Bardella.
Peut-il en être autrement dans la scène politique quand la quasi-totalité des médias français est possédée par des familles Juives, descendant de Juifs, ou alors ouvertement sionistes, que ce soit Niel, Kretinsky, Drahi, Dassault ou encore Bolloré ? Quand ces sionistes nomment des Juifs sionistes, enfants ou petits-enfants de Juifs sionistes aux directions de leur rédaction, de Denis Olivennes à Louis Dreyfus en passant par Dov Alfon ? Quand les maisons d’édition françaises sont elles-mêmes en grande majorité détenues par Bolloré et Kretinsky ? Peut-il en être autrement quand des Juifs sionistes sont à la tête d’une très grande partie des médias américains, ainsi que de sa tech et de sa finance ? Que ce soit chez le New York Times, le Los Angeles Times, Google, Meta, OpenAI, Goldman Sachs, BlackRock (qui pilote des flux financiers plus importants que le PIB annuel de l’Allemagne et du Japon réunis) ? Et on en passe.
Le sionisme est entré dans la Répulique par des Juifs, parce qu’ils sont particulièrement susceptibles d’être subjugués par cette idéologie nationaliste, mais aussi parce qu’ils sont facilement manipulables par la peur. « Antisémitisme », et ils tombent comme des mouches.
Pourtant, le sionisme est un nationalisme européen et il partage les aspects les plus monstrueux des nationalismes européens. Il commence rêve d’auto-détermination et de liberté puis il devient manichéen, propagandaire, suprémaciste, impérialiste, empreint d’un romantisme belliqueux et d’une mélancolie falsificatrice. Bien sûr, il exerce une emprise terrible sur les scientifiques et les intellectuels, comme tous les nationalismes modernes.
Oui, face à une telle idéologie, qu’il y ait tant de Juifs qui défendent plus ou moins ouvertement, avec plus ou moins de conviction, avec plus ou moins de subtilité, Israël et ses meurtres, est un problème. Non seulement un problème qui tue des gens et mêle notre mémoire à des meurtres que nous refusons, mais aussi un problème qui nuit gravement à la France, à son rayonnement moral, à sa démocratie, et donc au monde. Sans le regard critique des opinions de l’Amérique, de la France dans une moindre mesure, sans contre-pouvoir, qui peut arrêter le monstre raciste et suprémaciste qui sévit au Moyen-Orient ? Si personne ne montre les crocs et les muscles à Israël, si personne ne fait peur à ses relais chez nous (qui sont, ne nous le cachons plus, souvent Juifs), comment espérer le contenir ?
En réalité, le problème n’est pas tant qu’il y ait tant de Juifs qui aient si bien réussi que le fait que beaucoup de Juifs français aient conservé – et on en comprend un peu la raison – une culture de la dissimulation. Familles riches converties au catholicisme, ou alors Juifs non convertis, de sociabilité Juive, de réseaux Juifs, Juifs parties intégrantes de la diaspora mais Juifs qui n’évoquent pas ce fait pas à leurs constituants. Voilà un comportement qui est bien sain pour un citoyen lambda, mais quand c’est un député, un capitaliste puissant, un premier-ministre, un secrétaire d’Etat à l’Elysée, un haut responsable dans l’armée, ces liens sont bien trop graves pour ne pas en parler. Les cacher à l’électeur et au citoyen, ce n’est plus de l’universalité, c’est du mensonge, et c’est un mensonge terrible. Accepteriez-vous d’être dirigé par un troupeau de bi-nationaux Allemands ou Russes sans que vous ne le sachiez ? Je ne le crois pas. Au premier soupçon vous crierez à l’ingérence. Cette auto-dissimulation du Juif en France, appelée bien malheureusement assimilation, étouffe l’expression démocratique et risque d’entraîner une réaction tout à fait violente de la part de peuples, qui, privés de mots et de sincérité, liés malgré eux à des crimes terribles, n’ont plus que les poings, les fusils et la violence pour se libérer.
Il est temps d’accepter de prononcer le mot « Juif », d’avoir le cran d’adresser nos griefs au peuple Juif, de rappeler que refuser de discriminer ou d’appeler à la haine d’un individu sur la base de son appartenance ne signifie PAS être aveugle aux liens et aux galaxies d’influence dans les groupes qui nous dirigent. Un intellectuel « anti-sioniste » qui répète à l’envi « occident, colonialisme, capitalisme », qui refuse de voir que la force du sionisme réside dans l’influence gigantesque de la diaspora juive dans les médias, la politique et la finance occidentale n’a rien d’un intellectuel, rien d’un résistant, rien d’un juste, c’est un lâche, un mou et un complice.
Laisser un commentaire